Les maladies émergentes font partie de la mondialisation, et les épidémies font partie des phénomènes sociaux à chiffrer, à modéliser. Quelques contributions sur LinkedIn et les réseaux sociaux au long de la croissance du Covid-19.
L'épidémie a révélé que la croissance exponentielle était mal comprise par nombre de décideurs, même au plus haut niveau. Voici un post de "maths de l'épidémie pour les nuls" !
Les réactions négatives de nombreux médecins face aux essais du professeur Raoult sur l'hydroxychloroquine ont également révélé combien les enjeux essentiels de la méthode statistique étaient incompris. Une forme de juridisme sur le "protocole" peut faire manquer les réalités révélées par les chiffres. Ce post est titré : "Quand des petits nombres permettent de conclure : lecture des essais du Pr. Raoult".
Avant même la publication des résultats du Pr. Raoult, mais après qu'il ait présenté en vidéo quelques éléments de ses essais, un résumé des informations disponibles sur chloroquine et Covid-19.
Pour un tour d'horizon plus large de cette épidémie, comme phénomène normal dans la mondialisation, la conférence du professeur Simonetti au Collège de France le 16 mars : "Chronique d'une émergence annoncée".
Annoncée donc par des biologistes comme lui ; qu'en était-il des matheux, des épidémiologistes ? Une rapide recherche en ligne montre à quel point le refrain "personne n'avait prévu Covid-19" est mal fondé. Mais un message aussi terrible est difficile à formuler comme à entendre.
En complément, et à titre personnel plus que professionnel, quelques réflexions "esprit de l'escalier" sur les décisions à prendre en urgence, écrites le 8 mars, puis mises à jour sur Facebook.
Et un tout premier regard sur le monde d'après la tragédie.